Psychothérapie
PSYCHOTHERAPIE
Ma mère, par passion pour la psychiatrie et la psychanalyse, m’ obligea dès l’ adolescence à faire une « thérapie » avec un neurologue qu’elle connaissait , ce qui me conduisit à une tentative de suicide.
On m’ obligea alors à voir un psychiatre, à qui je refusai de parler.
…Il nous recommanda à un autre psychiatre, Thierry Vincenot ( Faux nom ). Qui vint chez moi . Ce que je vécus comme une intrusion.
Je voulais m'enfuir de la maison avant son arrivée, mais je me dis que ça ne servirait à rien...
Il paraissait gentil, mais tellement complexé et bizarre qu'il me mit mal à l'aise.
Son regard était inhumain.
Comme souvent celui des psychiatres.
Il était particulièrement grand et maigre, et il est vrai que les psychiatres ont souvent une morphologie particulière : soit trop grands, soit petits et gros.Il avait une tête bizarre : de chameau.
Quelque temps après, Master ( le premier psychiatre) avait dit à ma mère, qui me l'avait répété, que Vincenot était fou ! ...
J'avais 18 ans. Je ne sortais quasiment plus de chez ma mère, une déprime tenace me clouant là suite à l'ordre impératif que m'avaient donné
les psychiatres d'abandonner ma scolarité. (Ils m'avaient purement et simplement interdit de repasser le BAC !)
Ils m'avaient contrainte à rester chez moi, abandonnant de fait tout vie sociale.
Je m'y étais habituée, et avec le temps, je ne pouvais plus concevoir la vie autrement...J'avais même désormais peur de sortir de chez moi....
Ce nouveau psychiatre, après m'avoir posé une série de questions bizarres, dit à ma mère que je n'étais " ni débile, ni folle "...
Ma mère était ravie, moi, non : je le savais déjà .
Puis je l'ai vu, contrainte par ma mère, pendant 8 ans.
La menace de ma mère était de me couper les vivres et de me mettre à la rue.
Je la savais sans pitié, et je la croyais capable de le faire.
Je ne voulais pas me retrouver dehors : je pensais que je n'aurais pas survécu...
N'ayant plus la force de lutter, je me laissai aller au bon vouloir de ma mère.
La première chose que je dis à ce type, ensuite dans son bureau à l'hôpital, c'était que ma mère me contraignait à le voir.
Alors il leva le menton, et me fit : " Non. Vous venez ici parce que vous en avez envie. "
(Les psychiatres ont pour règle d'être "autoritaires" avec le patient...)
Dès lors je me dis qu'il était fou, et je tirai le rideau : plus jamais je ne lui ai parlé : tout ce qui sortit de ma bouche à partir de là, c'était des mots, du bruit en somme, et je n'y attachai plus aucune importance.
Je n'écoutais pas non plus ce qu'il disait : pour moi, "monsieur Vincenot" n'avait pas d'existence réelle...
Je décidai de parler simplement parce que je savais que le mutisme n'était pas un bon moyen de défense face aux psychiatres : ils en profitent pour vous dire fou et vous enfermer.
Je l'avertis que jamais je ne lui donnerais un centime : j'étais trop pauvre, et c'était ma mère qui m'obligeait à le voir , c'était donc à elle de payer.
Les relations entre ma mère et moi devenaient féroces.
J'étais la seule fautive, car je compris bien vite que les psychiatres s'en prennent plus volontiers à ceux qui sont sans défense : adolescents, pauvres, femmes seules..., donnant raison à leurs adversaires !
Ma mère gagnait son fric, et il ne serait venu à l'idée de personne de prendre mon parti contre elle.
EN FRANCE, ON NE SOIGNE PAS LES FOUS : ON TORTURE LEURS VICTIMES.
(C'est plus facile.)
Je détestais aller voir ce type.
Ma mère m'y contraignait sous la menace. ( Me mettre à la rue, sans vivres.)
Je trouvais ce type horriblement bizarre, comme seuls les psychiatres le sont.
Il avait l'air FOU .
Il se tortillait sur sa chaise.
On dirait parfois qu'ils se sont trouvé une maladie mentale et qu'ils essayent désespérément de la cacher...
Cependant, il était gentil : trop gentil : toujours d'accord avec moi, sans personnalité, carrément inconsistant.
( C'est pour accrocher le client au début, sans doute.)
Son attitude complexée, trop visible, m'intriguait : il me semblait décidément fou .
A plusieurs reprises, je lui dis que le fait de le voir sous la contrainte, en plus de la vie très difficile que j'avais chez moi, m'accablait .
En conséquence, je le haïssais.
Je le priai de bien vouloir mettre fin à cette "thérapie" à laquelle je ne voulais pas participer.
Mais il ne m'écoutait pas. j'étais face à un mur. Je n'existais pas.
Il ne se donnait même pas la peine de répondre.
Mutique ...
Je me sentis donc encore plus isolée, et agressée par lui et tous ceux qui étaient témoins de cette situation.
D'autre part, son physique me déplaisait :il avait un visage chevalin et ne m'inspirait pas confiance.
Il se taisait toujours. Son regard noir et mobile était celui d'une bête traquée.
Chaque séance était d'un ennui mortel pour moi.
Il ne se donnait même pas la peine de répondre à mes questions.
Cette situation anormale me gênait beaucoup, et, me semble-t-il, ne m'apportait aucune aide...loin de là.
Ne sachant que faire, je parlais pour meubler.
Plus tard j'en suis même venue à raconter des choses loufoques, pour tromper l'ennui.
A notre première entrevue, je m'étais assise dans la même position que lui : jambes croisées, main sur la cuisse, sachant que les psychiatres accordaient beaucoup d'importance aux gestes et pensaient les décrypter ...
Il me lança alors sèchement :
"Pourquoi vous êtes assise comme ça ?"
Je lui fis remarquer que je faisais comme lui, et alors il se précipita alors pour changer de position...
( Je vis dans un livre de psycho des années plus tard que cela signifiait :"Je pense que vous voulez une aventure avec moi."... Eh bien, c'était faux !
Etrangement, ce type était convaincu d'être irrésistible ! ... )
Je ne savais pas en quoi consistait une " psychothérapie ".
Je n'allais pas tarder à savoir...
Il parlait peu .
Mais posait parfois des questions insistantes :
"_ Vous avez été enlevée par des extra-terrestres ?
_ ...( étonnement )
_ Racontez."
Il me répéta ça avec obstination, pendant une dizaine de séances .
De la question, il passa à l'affirmation . Il n'avait pas honte .
Je trouvais celà débile . Ca me faisait rire .
J'avais tort .
Je m'en tirai par une boutade. Mais lui ne plaisantait pas .
Pour ces saletés de psychiatres, celà est très sérieux : ils suggèrent ce qu'ils veulent entendre,
et ensuite, on est catalogué par eux, pris dans le système ...
Sans le savoir ! !
Ils utilisent la méthode de certains interrogatoires : à la longue, la fatigue nerveuse fait " avouer " à l'accusé ce que l'inquisiteur voulait entendre .
En parlant, je lui rapportai que mon père nous avait dit que son collègue, le directeur de la clinique G. Durras était mort du SIDA à l' hôpital.
Vincenot, apparemment furieux mais immobile, me dit que non : qu'il était mort dans un accident de voiture ( je lui dis qu'il fallait engueuler mon père, pas moi.)
, et demanda entre ses dents : " des excuses ! " (solidarité entre psychiatres oblige .)
J'étais étonnée : je n'avais pas conscience de mal faire : j'avais répété ce que mon père nous avait dit . J'étais coincée entre lui et ce psychiatre.
Je crois que c'est là le prétexte qu'ont pris les psychiatres pour m' emmerder à vie.
Plus tard, Vincenot succéda à ce psychiatre à la tête de G. Durras.
( Maintenant sponsorisé par la Fondation Etudiants de France : Clean ! ) Au-dessus de tout soupçon.
Pas grave s'il y a une morte ( ou m'enfermeront- ils) pour ça (moi ).
LA PSYCHIATRIE TUE : L'espérance de vie d'un homme de plus de 40 ans en psychiatrie est d'une semaine !!!
Je tâchais de m'accommoder de la situation : je n'avais pas le choix.
Je lui demandai au moins d'être discret et de ne pas rendre compte de ce que je disais à ma mère, comme tous les autres psychiatres l'avaient fait.
J'avais aussi peur d'être abandonnée en cours de route, et de devoir recommencer avec un autre psychiatre.
Il me jura que ma mère ne saurait rien, et qu'il ne me lâcherait pas... pour mon malheur, ce fut vrai !
Bientôt, il se détendit, et se laissa aller à quelques confidences sur sa vie privée et sur ses goûts.
Enfin, il me révéla quelque chose de très étonnant : il était mon cousin !
En effet, son village d'origine et le nom de sa mère m'étaient familiers, et bien que je ne l'aie jamais vu auparavant, il était probablement un cousin de mon père...
ce qui m'ennuya quelque peu, étant en froid avec mon père depuis des années...d'autant qu'il m'avait fait parler de ma famille paternelle et que je lui avais dit ne pas les adorer, loin !...
Il dit qu'il allait me réconcilier avec mon père...
Plein de bonnes intentions, mais je me demandais comment il pouvait s'occuper de ça alors que je n'en avais aucune envie.
Je lui expliquai qu'il n'y avait rien à réconcilier puisqu'on n'avait jamais pu se supporter...
L'embellie fut de courte durée.
Les mois passèrent, et je continuais à le voir, contrainte et forcée..
Coincée face à ce type mutique je me défendais en faisant le clown.(C'est ce que j'ai toujours fait dans ma vie, quand j'allais très mal)
Moi qui avais toujours été réservée, je me noyais dans un flot de paroles, je tâchais même de faire de l'esprit pour me ( le ?) divertir.
Je me sentais en position d'infériorité.
J'avais l'impression que je devais faire ce que je pouvais pour lui plaire .( Comme si c'était moi qui lui devais quelque chose.)
Pour qu'il ne m'arrive pas pire.
Je craignais l'internement.
Il me disait que j'avais l'air d'aller très bien ( était-il con ou sadique ?)... On n'avait qu'à continuer comme ça.
Evidemment, je souffrais atrocement.
Très vite, cette relation anormale que j'avais avec ce type qui me méprisait, déclencha chez moi une sorte d' "autisme" qui faussa aussi mes rapports avec les autres : je les noyais dans un flot de paroles, jusqu'à presque oublier qu'ils étaient là ...
(Comme je le faisais avec lui ).
La détérioration commençait. Et j'en étais consciente.
Tout mon entourage se dit alors qu'on avait bien fait de m'envoyer à un psy, et que finalement d' était vrai que j'en avais besoin.
J'exportais à l'extérieur le genre de relation que j'avais avec le psy ...mon comportement était transformé.
Malgré tout, ma jeunesse et ma naïveté me poussaient à lui faire confiance, parce qu'il était "médecin", et j'étais à deux doigts de me rendre seule coupable
de ce carnage.
Etonnamment, ma mère me demanda un jour si il me plaisait, et si je n'aimerais pas me marier avec lui, "parce que peut-être que lui, il aimerait bien".
Quelle idée saugrenue ! Il était de la génération de mes parents, et ne me séduisait pas le moins du monde.
Mon père, (que je voyais, à ce moment-là), vint à la charge et me dit : "Vincenot, il est amoureux de toi."
Je trouvais cela tellement drôle que j'en informai le principal concerné qui parut surpris.
Pour moi, cela ne faisait pas de doute : mes parents voulaient me vendre !
Se débarrasser de moi, à à peine 19 ans !
Inspiré par cela, Vincenot commença à me parler mariage, sans que cela ne semble crédible.
Il m'interrogea sur le sujet, posant moulte questions précises autant qu'indiscrètes sur la façon dont je concevais le mariage...
Je pensais que c'était pure investigation de psy, mais comme cela dura plusieurs mois (une dizaine), je commençais à douter.
Ses sourires équivoques m'inquiétaient.
Il attaqua :
"Vous aimeriez vous marier à un médecin ?" "Et si c'était un psychiatre ?"..."S'il était proche de votre père ?"...
"Et si votre famille était la même que celle de votre futur mari, vous accepteriez qu'elle soit invitée à la noce ?"
J'en restai quoite !...Je ne voulais pas être méchante, mais il fallait que ça cesse.
Il me demanda aussi si ça ne gênerait pas que de temps en temps, il y ait sa "soeur", parce qu' "ils ne pouvaient pas se passer l'un de l'autre."
...Et si je surveillerais si il y avait une autre femme.
Je lui dis alors d'aller se faire foutre, et que de toute façon il était trop vieux. ( 15 ans de plus que moi.)
Je lui demandai pourquoi je me marierais avec lui.
Il me répondit que je n'avais pas d'avenir.
Pour "faire plaisir à tout le monde", je suis presque arrivée à tomber amoureuse de lui, par la méthode Coué..."C'est bien pour moi, c'est bien pour moi..."
Je finis par penser que ce mariage me sauverait la vie, et je m'étais presque habituée à cette idée : j'imaginais notre vie future...j'y croyais dur comme fer.
Il me dit qu'il allait me donner une famille.
Mais l'enthousiasme n'était pas plus grand d'un côté que de l'autre. La situation pourrit vite.
Malgré mon incrédulité et mon malaise, lui continuait avec obstination : j'eus bientôt droit au questionnaire pré-nuptial, tel que le pratiquent les psychologues, mais revisité par Vincent :
-Vous vous débarrasseriez de vos lunettes ?
- vous vous habilleriez en tailleur ?
-vous vous feriez teindre en blonde ?- Non - Et si c'était très important pour lui ?
- vous pourriez habiter en appartement ?
- vous resteriez à la maison ?
- vous apprendriez à faire les plats qu'il aime ? ( il dit aimer la blanquette.)
- vous rendriez la bague de fiançailles si il y avait rupture ?
- vous feriez certaines choses, au lit, si votre mari vous le demandait, pour lui faire plaisir ?
(un interrogatoire très professionnel.)
ça continua :
- vous porteriez des dessous en dentelle ?
- vous accepteriez de vous faire sodomiser ?
Le tout fut dit avec une froideur remarquable : il voulait bien me faire sentir que j'étais de la merde, et qu'on pouvait s'adresser à moi comme ça.
L 'insanité et l'arrogance de ce type m'écoeuraient.
J'étais consternée.
J'eus l'idée d'amener un magnétophone, pour qu'on me croie, mais cela me sembla saugrenu.
En revanche, depuis ce moment-là, je pris l'habitude de noter toutes les saloperies qu'il me disait sur des petits papiers, en rentrant chez moi.
J'en eus vite des tiroirs pleins...Je me promis d'en faire un livre, un jour.
Que la parole me soit enfin rendue, que sa saloperie soit effacée, et que ça serve à d'autres à se méfier des " thérapeutes ".
Je ne pouvais pour l'instant en parler à personne.
J'étais isolée. On me prenait pour une folle par le seul fait que je voyais un psychiatre .
J'avais honte.
Je me sentais très mal à l'aise, mais le respect et la confiance que j'avais dans les médecins m'empêchaient d'y voir clair : cela créait un conflit dans ma tête.
Je n'osais pas protester.
Celà me détruisit peu à peu.
Mais le questionnaire continua :
-"insultez-moi."
Puisqu'il le voulait, je lançai à tout hasard : "tête de noeuds"...
Bizarrement, il eut l'air stupéfait et très atteint .
A partir de ce moment, il devient froid et distant.
Sa bouche cachée derrière sa main, il me regarda de travers à chaque séance, gardant un silence de mort.
J'étais étonnée de l'effet produit par ma boutade.
Je me risquai à relancer l'idée de ce mariage si romantique, pour voir.
Il me dit alors que c'était trop tard, mais que comme il avait pitié de moi, je pouvais aller habiter chez sa mère .
Un peu plus tard, je ne pouvais plus y aller non plus...
A partir de ce moment là, il me voua une haine silencieuse.
Les séances devinrent apparemment une torture, pour lui comme pour moi.
Je saoulais ma mère de critiques contre Vincenot, et mon père ne tarda pas à nous dire "que Vincenot en avait marre qu'on dise des saloperies sur lui."
Le téléphone arabe marchait donc très bien...
En effet, quand on voit un psy, il ne faut pas s'attendre à ce que le secret médical soit respecté !
Mais à l'époque, je ne le savais pas.
PETITE, JE CROYAIS QUE LES ADULTES ETAIENT DES GENS INTELLIGENTS ET RESPONSABLES ...
A partir d'un moment, il entreprit de me " rééduquer " :
Il me reprenait chaque fois que je disais quelque chose de négatif : il me faisait :
"-C'est méchant ..."
Il ne fallait dire que des choses " gentilles ".
Puis, ce fut l'inverse pour moi :
Quand je parlais de moi en bien, il me reprenait . Celà n'était pas autorisé .
Je remarquai vite qu'il n'y avait que quand je m' autocritiquais qu'il me laissait parler ;
je pris vite le pli : celà devint une habitude...
Il enfonçait le clou : il me demandait plus de détails ... d'approfondir .
Il me demandait aussi de trouver les défauts des femmes, en général .
C'était une véritable reprogrammation, un lavage de cerveau .
Celà consistait à me faire me dénigrer moi-même !
Je ne parlais plus à personne d'autre. C'était mon seul interlocuteur.
J'avais peur de perdre pied.
IL ME DEMANDA CE QU IL FAUDRAIT FAIRE DE MES AFFAIRES, SI JE MOURAIS EN PSYCHIATRIE …
IL ME DEMANDA : « SI VOUS DISPARAISSIEZ, QUELQU’UN VOUS CHERCHERAIT ? »
C’ est-à-dire que les psychiatres peuvent enlever quelqu’un et l’ enfermer définitivement, ou le tuer s’il ne supporte pas l’ enfermement, pour peu que personne ne le cherche.
( Ils ont l’ art de faire le vide autour des gens qui avaient une vie normale, avant de les voir. )
Habituellement, Monsieur Vincenot essayait surtout de parler de sexe, la seule chose qui apparemment l'intéressait et semblait le sortir de sa léthargie.
( Sinon, il s'amollissait, et ses yeux se fermaient.)
Malheureusement, je n'avais pas grand chose à raconter là -dessus.
J' inventais, quand il me demandait de but en blanc, avec la décontraction du psychanalyste " branché " : " Quelle position préférez-vous ? "....
Il me demanda aussi si, quand j’ avais mes règles, « ça coulait plus quand j’ étais debout ou quand j’ étais assise ? » Il voulait se faire une opinion de mon anatomie …
Plus rien ne m’ étonnait de sa part. J’ étais obligée d’ être là.
Quand j'abordais certains problèmes, monsieur vincenot, à mon grand étonnement, s'énervait : à propos d'une copine, qui avait commencé à avoir des relations sexuelles trop tôt, et ne pouvait pas avoir une pilule classique, il me répondit avec arrogance : " Et alors ? Les femmes c'est fait pour ça ! "
Monsieur Vincent avait un problème avec les femmes ( son arrogance cachait peut-être une petite défaillance )...
Il me dit : « Les hommes qui ne sont pas arrogants, c’ est qu’ils sont impuissants. »
J'appris "qu'il était divorcé, mais que c'était comme si il était marié."...
( Il est vrai que les psychiatres ont souvent un mode de vie original, dont eux seuls ont le secret...)
Elle était aussi psychiatre ! ( C'est les femmes qui apprennent par coeur, durant leurs études, qu'elles sont " castrées " !)
On comprend qu'elles se sentent mal...
Il me fit comprendre que la faute revenait à elle ... que lui était irréprochable !
Je compris alors toutes ses réflexions choquantes, qu'il disait avec une colère à peine contenue, levant le menton :
Il avait un tel mépris et une telle haine des femmes, et ne concevait qu'une seule façon d'être, pour elles : à la fois " putes et soumises ".
Il voulait les humilier, et dominer pour avoir enfin l'impression d'être "un homme ".
Il ne supportait pas qu'elles prétendent aux mêmes droits que les hommes .
Un jour, je lui racontai que j’ avais été harcelée par un type, en boîte de nuit.
Il me dit : « Et si il vous avait violée ? »
Manifestement, il prenait du plaisir à dire ça.
Il avait une certaine idée des femmes, qu'il exposait sans doute plus à ses patientes qu'à son ex :
"Les femmes c'est blond."
"Les femmes, c'est pas très intelligent."
« Les femmes, ça se fait sodomiser."
"Une femme qui ne se fait pas sodomiser, c'est normal que son mari aille voir ailleurs."
Il m'avait d'ailleurs mise en garde : il faudrait bien " faire des choses au lit " à mon mari, quand je serais mariée ...
En me disant cela, il se mettait en colère tout seul .
Il levait le menton avec arrogance.( comme un iguane ).
J'étais étonnée. Je n'en avais jamais entendu autant !
Ses question étaient bizarres : par exemple, il me demanda « si je me marierais » avec chacune de mes copines, et pourquoi …
Je jouais aux échecs … il me demanda ce que je pensais de Kasparov … et me dit « que lui ne m’ aimait pas. »
Vincenot avait l’ habitude de faire parler les absents, ce qui donnait un tour irréel à la conversation. Et comme il m’ avait coupée du monde et que je ne parlais plus qu’ avec lui, je craignais qu’il ne me rende folle.
Pour ma part, je n'
en étais pas là : ma vie s'était arrêtée net, sur tous les plans, avec la "thérapie".
Celà dura des années.(8 ans .)
La fille que je croisais dans le couloir, qui passait avant moi, que je voyais sortir en pleurant me faisait pitié : elle avait à peine 17 ans et celà me rappelait ce qui se passait pour moi au début : l'évocation de problèmes familiaux douloureux face à un mec plutôt mûr qui n'en a rien à foutre, et qui est malade...
Je me rappelais la lucidité et la pureté des jeunes filles de cet âge.
Je me disais qu'elle finirait comme moi...
Je ne pouvais plus avoir pitié de moi, mais j'avais pitié d'elle...
La destruction mentale commença à ce moment-là.
Vincenot entreprit sur moi une vraie "rééducation".
Par des méthodes psychologiques éprouvées, j'allais le découvrir beaucoup plus tard, il me fit subir un véritable "lavage de cerveau."
Les questions bêtes, bizarres ou obscènes pleuvèrent.
Il commença par me "casser", en me lâchant une saloperie de temps en temps : par exemple, quand je racontai l'agression d'une camarade de classe, au collège, par des élèves :"C'était un viol. Vous, ça peut pas vous arriver, vous êtes moche."
Ou parfois, il attaquait d'emblée la séance par : " Vous avez un grand nez."
Je me taisais , puis il ajoutait : "pourquoi ?"
Si je disais que mon nez était normal, il répondait simplement : "Non."
Même si je savais vaguement ce qu'il tentait de faire, l'agression était faite.
Je remarquai bien vite, que faire de la "psychanalyse", à son sens, consistait uniquement à lâcher : "Pourquoi ?" toutes les 30 secondes, et sans à-propos - ce qui donne des choses bizarres.
Il m'interrompait aussi pour me donner des nouvelles de ceux dont je parlais : exemple, à propos d'un élève de mon collège : " Il s'est pendu."
Je ne savais pas si je devais le croire ou pas. J'étais quand même en colère qu'il puisse dire ça d'une façon si abrupte.
Je ne pouvais pas le battre, comme j'en avais envie : sa sanction aurait été sévère, et immédiate . Trop facile pour lui.
Je pris le parti de l'ignorer et de continuer mon monologue, pour passer le temps.
Les questions sur les gens que j'évoquais étaient très indiscrètes :
par recoupements, se saloperies de psychiatres doivent avoir des renseignements sur toute la population !...
Il faisait des diagnostics par personne interposée " X..., elle est très malade."...
Il avait aussi ses petites habitudes : chaque fois que je parlais d'une femme qui était blonde, il me demandait si elle était belle...
(J'avais peur qu'il s'arrange pour les rencontrer, "par hasard".)
Plus tard, il entreprit de me lâcher une saloperie, à la fin de chaque séance,(et c'était la seule chose qu'il disait), du style :
_"Votre amie Valérie, elle couche avec votre père."
ou encore :
_"Jésus, c'est moi."
ou encore :
_"Et si Dieu était fou ?" ( étrange pour un type qui, quelques années plus tard, a écrit un livre avec un prêtre !)...
Etc...
Ces petites saloperies, si elles semblent anodines, voire grotesques, faisaient en fait partie d'une méthode de destruction psychologique éprouvée depuis la seconde guerre mondiale. (Je l'ai découvert des années plus tard, sur Internet.)
En effet, on sait que même si la victime est consciente de l'aberration des paroles de son persécuteur, l'effet destructeur agit !
Les psychiatres sont heureusement rôdés à toutes ces techniques psychologiques, et n'hésitent pas à en user pour se défendre des jeunes filles maltraitées ( battues ou violées par papa), qu'on leur envoie !!
Tellement d'autres choses m'ont choquée viv-à-vis de Vincenot, comme son parti-pris pour les mecs, qui est celui de toute la psychiatrie, et qui le poussait à promouvoir ce que la loi considère comme des crimes .
Je me souviens du jour où il m'a déclaré :" qu'il ne fallait pas punir un homme qui avait fait des attouchements sur des enfants s'il ne l'avait fait qu'une seule fois, parce qu'il ne comprendrait pas."
C'était peut-être vrai.
Mais je trouvais que monsieur Vincenot se souciait beaucoup de ce que le mec pensait.
Je répondis simplement que l'enfant, lui, s'en souviendrait toute sa vie .
Et que personnellement, c'était tout ce qui m'importait.
Ce que disait Vincenot allait contre la loi.
Et contre le justice.
Mais ceci est une notion qui lui passe largement au-dessus du chapeau.
Vincenot est une larve infâme.
Vincenot me demanda « si j’ épouserais un psychiatre ».
Les psychiatres, eux, préfère s'identifier au "fort", à l'homme-dominateur.
Font-ils la différence entre la Force et la Lâcheté ?
À ce moment-là apparut une nouvelle patiente : une petite bonne femme blonde au visage fripé, de près de 40 ans, habillée comme une clocharde.
Il me dit plus tard qu'elle avait mon âge.
Elle était agitée et ne pouvait rester immobile : tout son corps ondulait dans un mouvement permanent et incontrôlable.
Elle ne s'asseyait pas sur le banc, mais s'y couchait.
Vincenot , du haut de ses deux mètres, vit sa tignasse blonde, et à cette vue sursauta vivement : il avait toujours des soubresauts extrêmement violents quand il était ému, et il l'était à la seule évocation d'une blonde, -ou d'un blond d'ailleurs -, (fascination fréquente chez les gens mats) ...
Ne m'avait-il pas confié avoir eu pendant son adolescence une véritable passion pour la chanteuse du groupe "il était une fois " ?
Dès cet instant Vincent s'était dit manifestement de cette pauvre fille : "C'est pour moi."
Après un bond spectaculaire (un problème neurologique, sans doute, qui fait qu' à la moindre émotion, M. Vincenot explose dans des mouvements inattendus et étonnants), sa grande carcasse se courba, se démantibula, et sa gueule se fendit dans toute sa largeur d'un sourire ressemblant plus à une grimace, qu'il approcha tout près de la tête de celle qui lui faisait envie (c'était difficile : de deux mètres 10 à un mètre 60).
Mais la minette se détourna sans même lui accorder un regard, furax.
Dès cet instant, il fut évident qu'il avait décidé de "se la faire", à tout prix. Il ressemblait à un animal en rut . Il n'y avait plus de limites à l'indescence...
(Je me souviens d'un documentaire sur la reproduction des chameaux où le mâle en rut tournait en bavant et en tirant la langue autour de la femelle attachée :
ce n'était pas plus dégueulasse ni spéctaculaire que le vieux psychiatre tournant autour de la jeune malade mentale, pauvre et sans famille...)
Je lui dis que j'étais écoeurée mais il me dit qu'il s'en foutait, "parce que ce n'était que moi qui le voyait ".
En fait, il n'avait pas plus de respect pour elle que pour moi : ce n'était qu'un paquet de viande, et il voulait se le payer.
Il se foutait de ce qu'elle pensait.
Pendant les trois mois qui ont suivi, environ 10 séances, Vincenot l'accueillit de la même façon :
Quand je sortais, elle se levait pour entrer dans son bureau, mais il lui barrait le passage avec son corps.
Il la dirigeait comme font les cow-boys avec le bétail :
Elle essayait alors de passer à droite, il la barrait à droite;
Elle essayait de passer à gauche, il la barrait à gauche.
Elle restait alors debout au milieu du couloir, bloquée, ( parfois, ça finissait contre le mur), dans une attitude très théatrale : l'air furax, elle collait son menton à la poitrine, et ne bougeait plus. ( j'avais déjà vu cette attitude chez une copine qui venait d'être agressée par un groupe de garçons, au collège).
Vincenot se pliait alors en deux, et lui collait sa gueule contre le nez (à environ 3 cm.) Son rictus le rendait encore plus laid , mais il n'en était pas conscient.
Naturellement sans complexe, Vincent était rendu encore moins lucide par ses sécrétions hormonales.
Elle se "défendait" soit en mettant la figure dans les mains, soit en tournant la tête, soit elle faisait carrément demi-tour.
Dans ce cas Vincenot, très patiemment, en faisait le tour et lui recollait sa gueule contre le nez .
(C'était à filmer !)
Ensuite, quand elle l'avait regardé, elle avait le droit de rentrer dans son bureau ...
Trois mois passèrent comme ça.
Je me demandais si elle était assez bête pour qu'il arrive à ses fins.
Longtemps après, il me dit qu'elle commençait à dire des saloperies sur moi .
Que je ne la connaissais pas, mais qu'elle me connaissait ...
Il expliqua qu'en fait c'était une amie de Valérie Bouzin .
Et je me souvins en effet d'une petite blondasse aperçue une ou deux fois chez les Bouzin qui lui ressemblait tout-à-fait, qui ne parlait pas et qui marchait déjà à l'époque la tête baissée en permanence, menton contre poitrine,( comme les femmes agressées).
Valérie m'avait dit pudiquement que "elle aussi, elle avait des problèmes ".
C'était la meilleure amie de Pascale, la petite soeur de Valérie, qui était une joyeuse luronne qui n'avait jamais pu avoir son Bac, malgré les nombreuses tentatives.
Nicolas, le "meilleur ami de Valérie" sortait avec Pascale et cette fille.
Pascale pensait que c'était pour elle, mais non : c'était l'autre qu'il convoitait...
Ainsi elle se retrouvait maintenant chez un psychiatre qui lui aussi la harcelait sexuellement ... ça doit toujours finir comme ça...
(elle avait 2 ans de moins que moi, donc 17 ans de moins que Vincent.)
Puis Vincenot me dit que je la détestais, non parce qu'il avait dit qu'elle me diffamait, mais PARCE QUE J ETAIS AMOUREUSE DE LUI ET QUE J AURAIS BIEN AIME QU IL ME FASSE LA MEME CHOSE QU A ELLE !!!!!
Il me répétait les saloperies qu'elle disait (ses ragots, car je ne la connaissais pas et ne lui avais jamais parlé ) .
Vincent me dit qu'elle avait raison.
Il parlait d'elle comme si elle lui appartenait. Il en était fier comme si il l'avait pondue!
Il me dit que j'étais jalouse, et que j'aurais voulu lui ressembler, parce que : " TOUTES LES FEMMES VEULENT RESSEMBLER A CA " !!!
(à une pétasse blonde d' 1.20 m, débile, médisante et atteinte de maladie neurologique.)
Vincent me chiait dessus et la flattait tant qu'il pouvait.
Si bien qu'elle finit par le trouver sympathique .
(Le fait de raconter sa vie à quelqu'un, fait qu'on s'y attache définitivement même s'il est fou, moche, vieux, con, et salaud : c'est le phénomène que les psychiatres appellent " le Transfert " ! )
Il disait qu'elle " entendait " ( mais n'écoutait pas ) ce que je disais à travers la porte, et qu'après elle se foutait de moi .
Il me dit ensuite qu'elle se plaignait de ce que je ne lui disais pas bonjour dans le couloir.
Il me dit que je devais lui dire bonjour. que je n'étais pas polie. Que moi je ne l'aimais pas mais qu'elle elle m'aimait .
Alors je dis que je casserais la gueule à notre prochaine rencontre.
Il la changea alors d'horaire.
VINCENOT ME DIT QUE J ETAIS FURIEUSE PARCE QU IL NE M AVAIT PAS FAIT CE QU IL LUI AVAIT FAIT .
EN FAIT NON
JE REGRETTAIS SEULEMENT D AVOIR PERDU 10 ANS DE MA VIE A CAUSE D UN FOU QU ON M A FORCEE A VOIR.
Il a réussi à la sauter, parce qu'il l'a convaincue qu'il y avait pire qu'elle .... MOI !
Formidable , le "Transfert" : après plusieurs mois à raconter sa vie, on tombe amoureuse du psychiatre, même s'il est fou, con, moche, vieux, salaud et sournois.
Il m'avait demandé une fois, car il se trouvait désirable, "si je mouillais ma culotte en le voyant ."
Je lui répondis qu'il n'y avait pas de quoi.
Après trois mois de harcèlement sexuel, puis de flatterie, il l'amena chez lui.
Plus tard, alors que je revis ( hélas) Vincent après une longue période de tranquillité, il me dit amicalement qu'elle était chez lui, mais qu'elle voulait bien que
j'y aille aussi "parce que elle aussi, elle avait beaucoup souffert".
Bien sûr, elle y mettait ses conditions : elle avait peur de moi ( ! ) et donc n'acceptait que j'aille aussi chez lui qu'à midi, quand il y était aussi...
Il l'amenait partout " parce qu'ils ne pouvaient pas se passer l'un de l'autre. "
Je les croisais souvent en voiture : elle, avachie sur le siège passager, la blonde tignasse qui avait fait son succès étalée sur le siège.
Plus tard je la vis à Carrefour, enceinte de 8 mois.
J'étais sidérée que quelqu'un d' aussi atteint fasse un enfant !
Elle était manifestement " traitée "par son psychiatre chéri, puisque , non plus agitée, elle faisait maintenant " la statue " : derrière elle dans la file d'attente, et ne l' ayant pas encore reconnue, je fus surprise de voir cette bonne femme qui était restée vingt minutes, montre en main, sans faire le moindre mouvement...
Vue après de profil, ses bajoues pendantes me donnèrent l'impression qu'elle était trop agée pour avoir un enfant .
Je ne la reconnus que lorsqu'elle me fit face (ses yeux globuleux, son nez en trompette et sa boule au bout du nez...) ;
Surtout, son attitude ne laissait pas de doute : comme elle me l'avait toujours fait, elle se mit face à moi , jambes écartées, poings sur les hanches et regard par en-dessous, en signe de défi ! ...
Elle ne manqua pas de regarder attentivement mes achats .( On ne sait jamais, on peut toujours en tirer des renseignements prétextes aux ragots ...)
Puis elle bloqua la caisse une vingtaine de minutes : en effet, elle tendait un chèque mais n'avait pas de pièce d'identité.
Elle ne pouvait donner qu'une explication à la caissière : " C'est pas moi qui paye ... c'est pas moi qui paye..."
( Il faut dire à son psychiatre qu'il lui donne sa pièce d'identité quand il l'envoie faire des courses. )
Quelques mois plus tard, j'entendis en passant dans le quartier où habitait ma mère, un bébé hurlant dans la maison servant de logement de fonction aux directeurs de Georges Durras...
A plus de 45 ans, monsieur Vincenot pouponnait...
Longtemps après, je vis un dimanche, une femme d'âge mûr promener une petite fille dans la rue derrière la clinique, puis y rentrer à mon arrivée.
IL ME DIT " QU ' ELLE, ELLE S' EN TIREREAIT." " C'EST L'AMOUR, VOUS POUVEZ PAS COMPRENDRE. " "ELLE, C'EST UNE VRAIE FEMME."
C' EST CERTAIN . QUAND VOS PARENTS VOUS CONFIENT AUX PSYCHIATRES IL VAUT MIEUX COUCHER POUR S' EN SORTIR VIVANTE .
LA, MEME SI VOUS ETES AGITEE, LES PSYCHIATRES VOUS TROUVENT " NORMALE ."
( UTILISABLE, QUOI. )
Juste avant que je ne cesse de voir Vincenot, il me fit une dernière saloperie :
Un jour, il était très en colère, ce qui se traduisait chez lui par des mouvements désordonnés.
Il me fit sèchement : pourquoi votre père ne me parle plus ? ( alors qu'il savait pertinemment que je n'avais pas vu mon père depuis des années.)
Il gueula : "Si vous êtes un monstre, c'est pas de ma faute ! "
(J'avais l' habitude d'être injuriée par tous les traine-savates de l'hôpital, quand ils n'osaient pas s'en prendre directement à mon père...)
Je me mis en colère et l'insultai.
Il me dit alors de ne plus venir.
Mais ma mère m'y obligeait, sous peine de me mettre à la rue ; j'avais moins peur de lui que d'elle.
Il reprit alors à la séance suivante :
En jouissant apparemment, il me fit :
"vous avez les yeux injectés de sang
vous avez les sourcils broussailleux
vous avez le blanc des yeux jaunes
vous avez les doigts de pied en marteau
vous avez des pointes sous les doigts
vous avez les pieds bots et les mains bottes
vous avez des poils partout
il ajouta : « l’ intérieur de votre vagin est … » [ là il dit l’ aspect que cela avait, au toucher .]
Quelqu’ un a donc mis les doigts dans mon vagin, alors que j’ étais inconsciente.
IL S AGIT D UN VIOL !
Ils m’ ont explorée comme on explore un CADAVRE.
...
Il me fit :
Vous êtes un monstre.
Moi je suis moche mais je suis pas un monstre."
C'étaient donc les psychiatres qui m'avaient " soigneusement " examinée après m'avoir plongée dans un coma artificiel !
Vincenot me dit que non : ce n'étaient pas des psychiatres qui avaient dit ça ;
je ne savaient pas que les médecins exploraient si intimement les gens pendant l'opération de l'appendicite.
Je réussis enfin à me débarrasser définitivement de Vincenot.
LES PSYCHIATRES M ONT DETRUITE AU POINT QUE JE ME SUIS SABORDEE INCONSCIEMMENT ET QUE MON APPARENCE EN A NOTABLEMENT SOUFFERT ... CE QUI M A ATTIRE PLUS DE HAINE ENCORE DE TOUT LE MONDE;
Aujour'dhui, nommé directeur de la Clinique Georges Durras où sa cible sont les adolescentes anorexiques, il écrit une foule de livres sur le sujet, (parfois avec des prêtres, ou avec des "philosophes", portant le même nom que le propriétaire qui m'a mise dehors de mon appartement, parce que la rumeur disait que j'étais folle), et apparaît sur des sites Internet destinés aux jeunes, ( avec un fond rose et de charmants lapins qui courent à travers l'écran ), où il invite les gamins à se raconter, et où il leur donne l'adresse de " bonnes cliniques psychiatriques ", dont la sienne, sous des pseudos divers ...
VINCENOT ME DIT A LA FIN QUE " J AVAIS FAIT AVANCER LA PSYCHIATRIE " !!!!!! ....EH BIEN MAINTENANT, JE SUIS BIEN D'AVIS DE LA FAIRE RENTRER A LA NICHE !
JE RENIER TOUT CE QUE J ai DIT A CE MALADE.
Outrée, j'avais annoncé mon intention de faire une petite mise au point .
Il me menaça immédiatement :
" Moi aussi j'aurai des choses à dire sur vous ..."
Ce qui risquait d'avoir des conséquences plus graves, bien sûr ...
Il me dit que de toute façon il était « trop puissant !» pour que je puisse quelque chose contre lui.
Vincenot me dit : « VOS PARENTS NE SERONT PAS TOUJOURS LA POUR VOUS PROTEGER »
A un moment, Vincenot, apparemment sous la contrainte, me dit de ne plus venir le voir, qu'il était coincé et que je le regretterais, ( une pression de quelqu'un qui le tenait - mon père ou Master ?-) , mais je craignais plus les menaces de ma mère ( la rue ! ) que lui.
Ma famille a toujours été abjecte avec moi à ce moment-là : ils m'ont reniée ... et d'une façon plutôt cruelle îls m'ont enfoncé la tête sous l'eau en pensant qu'ils s'en tireraient indemnes ...
Ils m'avaient toujours maltraîtée, et en leur répétant les choses personnelles que je lui confiais, et qui impliquaient la famille, Vincent m'a fait passer pour la salope, alors que le salaud, le fouteur de merde, c'était lui.
Les psychiatres leur avaient donné l'occasion de m'attaquer d'une façon dégueulasse.
Depuis ce temps, la plupart des gens de ma famille me traitent plus ou moins directement de folle à chaque occasion - et c'est une souffrance indicible- de voir les gens qui vous ont élevée vous traiter comme ça -
Et en plus, à la moindre dispute avec l'un d' eux, la menace d'un nouvel internement se profile, sous la forme d'un : " Oh, là là ! Moi, je trouve que tu vas pas bien, toi, en ce moment ! ... "
Et ils se coalisent contre moi.
Je suis pour eux un souffre-douleur, et une sorte d'exutoire : la coupable perpétuelle qui les lave, eux, de tout soupçon.
Avant mes dix-sept ans, personne, de ma famille ou non, ne m'aurait jamais injuriée de la sorte !
La rage , la peur, et la déception sont toujours les mêmes.
La blessure est énorme.
MA MERE M A ENVOYEE AUX PSYCHIATRE EN ME DISANT DE LEUR PARLER DE MOI ( ET DONC DE MA FAMILLE) MAIS VINCENoT, LE COUSIN DE MON PERE, LEUR A TOUT REPETE . ILS M'EN ONT VOULU A MORT ET ME L' ONT FAIT PAYER.
SANS PENSER QUE C ETAIT CONDAMNABLE J AI DIT COMMENT MA MERE RESOLVAIT LES SOUFFRANCES DES ENFANTS.
Ma vie s'est arrêtée, à 17 ans, avec cette "psychothérapie" de merde.
La psychiatrie, ce n'est pas anodin...
C'est de l'à-peu-près, mais les conséquences sont lourdes, trop lourdes !
Une pseudo-science qui s'apparente plus à de la boucherie.
Vincenot trouva bien vite la solution : un jour alors que j'arrivai dans le couloir, il m'attendait en faisant la gueule. Sans dire un mot, il m'attrapa les deux avant-bras, et me secoua très fort d'avant en arrière, puis il entra dans son bureau et alla s'asseoir, comme si de rien était.
J'entrai alors dans une rage folle. J'eus envie de le battre, mais je connaissais le sort réservé à ceux qui agressent les psychiatres : plusieurs mois attaché sur un lit...Je hurlai donc toute ma haine, et on m'entendit sans doute dans tout le service. Je ne m'arrêtai qu'au bout d'un moment, en me rendant compte que c'était peut-être un piège.
La fameuse petite vitre fumée -parfois remplacée par une glace sans tain - qu'on trouve habituellement dans le bureau d'un psychiatre (comme chez la
police ; sauf que là c'est la victime qui est regardée .), me fit penser qu'il y avait peut-être des observateurs derrière, et que là j'étais marron...
Je fus forcée, peu de temps après, à voir le psychiatre en chef du CHU ( un ami de longue date de mes parents), qui m'écouta brièvement, puis entendit très longuement ma mère.
(Vincenot me dit plus tard que je ne l'avais pas assez regardé dans les yeux ; en effet, posée face à un psychiatre, je regarde toujours par la fenêtre, pour " m'enfuir".)
Mon compte était bon : je devais être enfermée pour une durée indéterminée dans le service de vincenot.
J'étais horrifiée.
Vincenot me demanda sèchement pourquoi « je refusais de me faire soigner. »
Je pensais que quelqu'un allait me sortir de là.
Ce n'était pas possible que ça m'arrive.
C'était un cauchemar.
J'étais sûre que ma mère allait faire quelque chose.
Vincenot ne me laissa aucune illusion : "votre mère, elle vous aime pas."
J'étais prête à me battre jusqu'à la mort pour pas que ça arrive !
J'allais me retrancher chez moi !
On appela mon père en renfort.
Comme d'habitude, il n'y alla pas par quatre chemins : " Soit tu y vas maintenant, soit on te fait interner de force, et là, je te garantis, tu rigoleras moins."
J'eus peur .
Je ne savais pas qu 'ils n'avaient pas le droit.
Je ne savais pas comment m'en tirer.
Personne ne me tendit la main !
Je me laissai conduire, la mort dans l'âme, comme un veau à l'abattoir.
J'arrivai quelques jour après à la clinique, encadrée par mes deux parents.
La torture ne s'arrêta pas là
Je vis schnetzer, un psychiatre à qui je racontai tout sur vincenot. Il me dit : « C’est pas gentil ce qu’il vous a fait. »
Puis il me dit que c’ était intéressant de savoir que mon père me détestait. ( Sous-entendu : les psychiatres pouvaient s’ en prendre à moi. Parce qu’ils craignaient mon père, sur le plan professionnel, comme la peste.)
Peu de temps après avoir vu Schnetzer, je reçus une série de coups de fils anonymes.
Ca avait commencé par une voix de femme, qui se présentait comme " la compagne de Vincenot " et avait des questions à me poser, en me tutoyant .
Ensuite, ce fut la voix d'une jeune fille d'environ 17 ans.
Puis les voix de diverses personnes tenant des propos absurdes, allant de : "T'as fini de draguer mon mari ?" à " Il est de quelle couleur mon mari : noir ou blanc ? Eh ben il est blanc ! ", en passant par : " pourquoi tu insultes la mère de mes enfants ?", et d'autres enfin m'adressaient des " Connasse, putain, salope." ou des "ça relève de la psychiatrie ." Certains ne parlaient pas.
Je menaçais de temps en temps de porter plainte, sans le faire, craignant qu'on me reproche mes propres appels à ces saletés de psys.
Alors me revint ce dialogue que j'avais eu vers la fin avec Vincenot, quand je menaçais de porter plainte contre Vincenot et qu'il m'accusait de refuser de me faire " soigner "...:
"-Si vous étiez harcelée, vous feriez quoi ?"
- Je porterais plainte.
- Et si vous ne pouviez pas porter plainte ?
- Et pourquoi je ne pourrais pas ?"....
CETTE ATTAQUE VIENT DONC DE VINCENOT : LES PSYCHIATRES HARCELENT LEURS PATIENTS
ET NE SONT PAS PUNIS PAR LA JUSTICE .
QU’EST-CE QUI EST PUNI DANS LA PSYCHIATRIE ? LES ACTES DE TORTURE ET DE BARBARIE COMME LA LOBOTOMIE ET LES ELECTROCHOCS ? NON . CAR TOUT LE MONDE ( MEME CERTAINS DES PLUS INTELLIGENTS ),ONTUNE HAINE INSTINCTIVE ET VISCERALE DE CE QUI EST DESIGNE COMME FOU.
SCHNETZER M AVAIT DEMANDE SI IL POUVAIT FAIRE PART DE CE QUE VINCENOT M AVAIT FAIT. VINCENOT S EST DONC VENGE.
JE NE PEUX PAS PORTER PLAINTE CONTRE VINCENOT : JE RISQUE LES ELECTROCHOCS ET L INTERNEMENT DEFINITIF. PERSONNE NE ME PROTEGERA.
Inconsciemment, ce petit message avait eu l'effet escompté : je culpabilisais et étais incapable de réagir : Vincenot avait donc préparé son attaque.
Les psychiatres sont décidément très efficaces....dans la destruction !!
Par ailleurs, j'en savais gré au Noir, concierge de mon immeuble, d'avoir donné mon numéro à tout le monde. ( Seul lui et ma famille l'avaient.)
Un peu surprise, je l'avais entendu me dire : " Fermez-vous bien à clé : il y a des gens qui veulent vous tuer ."
Il m'avait avertie : " Il ya des gens qui veulent vous tuer...Et moi je pense qu'ils ont raison ! "
MENACE DE MORT !
Le congolais se posait en juge et en justicier.
Je ne m'attendais à rien de mieux de sa part, et me promis de le lui faire payer en le faisant mieux connaitre
J'entendis plus tard Poirier, une voisine, et ses vieilles copines faire : " Ah, non ! Moi je veux pas qu'ils la tuent ici ! "
Le Noir me fit : " Vous avez vu l'ambulance, là ? Eh ben la prochaine, elle est pour vous ! "
Je ne pouvais pas y croire vraiment .
Mais j'étais épuisée .
Quand quelqu’un dit à vos voisins que vous êtes fou, ils le croient, et se comportent comme des fous vis-à-vis de vous.
Lorsque je téléphonai à ma mère en lui demandant quoi faire, elle me suggéra sérieusement : " de prendre toute la plaquette de calmants " ...
.
Le harcèlement par téléphone continuait, jusqu'au jour où une femme déclara être : "la compagne de Vincenot." (Je le savais divorcé mais vivant plus ou moins avec son ex, quand il n' invitait pas les patientes à la maison.) Elle me demanda d'une voix triste "si j'allais les poursuivre toute leur vie", et "s'ils devraient toujours se cacher ."
Ce n'était probablement pas sa "compagne", mais plutôt une collègue psychiatre volontaire pour la "chasse aux patients insoumis".
(Les psychiatres, ont un pouvoir illimité dans ce pays, et il ne s'arrête pas à ce qui est visible et admis par tous - bien que déjà passablement dégueulasse-.)
Vincenot ne m'avait-il pas prévenue : " Vous allez voir ce qui arrive à ceux qui refusent de se faire soigner ! " Sa bouche se tordit alors d'un rictus montrant sa satisfaction.
Bref, sans trop réfléchir car aveuglée par la haine, et dans un dernier espoir de me faire comprendre, je décrivis mes séances avec Vincent dans le détail, pour révéler ce qu'il cachait à la plupart des gens qu'il côtoyait.
Elle était intéressée : elle me demanda plus de détails.
Mais la prudence était de mise et je lui dis que je n'en dirais pas plus à une parfaite inconnue.
Elle se découragea vite.
Mais bientôt ce fut une autre voix qui prit le relais : celle d'une adolescente d'environ 17 ans.
Elle commença par tourner autour du pot, ne parlant de rien de précis.
Elle appelait fréquemment, sans raison disait-elle, et déclarait ne pas me connaitre...
J'avais des scrupules à l'envoyer paître, étant donné son jeune âge.
Je lui suggérai gentiment de s'occuper d'autre chose.
Mais elle n'arrêtait pas d'appeler, (les menaces de plainte n'y faisaient rien), et bientôt les questions fusèrent .
Je me demandais si je la connaissais.
Le harcèlement durera 1 an.
Elle me fit : " Pourquoi t'emmerdes ma mère ? ":
Je pensai alors à trois possibilités : STEFFEN-VINCENOT, POIRIER-BARAUD devenue DUPUY , ROLLANDO ou SPINELLO. C’étaient celles qui me diffamaient.
Et : « Tu as l’ air tranquille, là …Trop tranquille. »
Très vite, elle me fit : « On est contents, on t’ a rendue folle. » Pour que je croie que j’ étais folle.
Puis commença une " propagande noire ", comme certaines sectes savent la faire pour dénigrer quelqu'un et le " tuer "
socialement .
Le corbeau me fit : "on peut dire à tes voisins que tu es folle ? "
Ou encore : " On a une cassette sur toi : on peut la passer à tes voisins ? "
Et : « On fouillera tes poubelles ».
corbeau (la voix de Vincenot ) : " Je regrette pas ce que j'ai fait ."
et "pourquoi tu te suicides pas ."
Un autre : " On est vengés ".
JE REPONDIS A CETTE GROSSE MERDE QUE CE N EST PAS LA VICTIME QUI DOIT MOURIR, MAIS BIEN LE BOURREAU .
LOGIQUE ET JUSTICE SONT PARFOIS DURES A FAIRE PASSER, DANS CE PAYS.
Puis le ton changea : " T'as l'air tranquille, ici ! ... Trop tranquille ! "
« On a dit à tes voisins que tu étais folle. Ils nous ont dit qu’ils le savaient déjà. »
C EST A DIRE QUE LES PROCHES DES PSYCHIATRES ( PARCE QUE POUR MOI , ELLE EST LA FILLE DE VINCENOT,OU ALORS LA PATIENTE QU IL A AMENEE CHEZ LUI ), VONT VOIR LES VOISINS DE LEURS PATIENTS POUR LEUR DIRE QU ILS SONT FOUS . Ainsi ils les tuent socialement.
J’ ai été obligée de déménager plusieurs fois. ELLE M A SUIVIE.
JE N AI PAS PORTE PLAINTE PAR PEUR DE L INTERNEMENT ET DES ELECTROCHOCS.CA SE SERAIT RETOURNE CONTRE MOI. LES PSYCHIATRES ONT TOUJOURS RAISON FACE A LEURS PATIENTS ;
L a preuve, que ça vient de Vincenot, c’ est qu’ une fois, alors qu’ il m’ avait demandé ce que je pourrais faire à quelqu’un que je n’ aimais pas, j’ avais dit, mais pas sérieusement, que je dirais à ses voisins qu’ il était fou.
Plus tard, elle me dit aussi :
« Y’ a un contrat sur ta tête » : MENACE DE MORT .
Elle se défendait d'être proche des psys mais me dit un jour :
" On connait bien ton dossier ".
(De quoi t'emmerder !)
A la fin, les réflexions devinrent " bizarres " :
"Pourquoi on te voit ?"
« Pourquoi on n’ arrive pas à te tuer ? »
"C'est nous qui avons tué ton chat !" ( il était encore vivant .)
Mais quelques années plus tard, mon chat mourut dans des circonstances étranges : je le retrouvai agonisant devant la maison, du sang sortant de la bouche. Il mourut rapidement.
Pendant que je le pleurais, devant la maison, un type blond d’ une trentaine d’ années était assis sur le terreplein devant la maison, tourné dans notre direction. Il était 22h30.Il resta un long moment.
Quelques jours plus tard, un papier était collé sur notre portail, portant « ATTENTION, IL Y A UN TUEUR DE CHAT DANS LE QUARTIER ! PEUT-ETRE EST-CE VOTRE VOISIN ? »
Je reconnus le style du corbeau. Je décollai le papier avec le scotch ( pour les empreintes ).
J’ envoyai le tout à la gendarmerie avec un mot d’ explication … Je n’ eus jamais de réponse !
LES PSYCHIATRES AMENENT A FAIRE TUER LES ANIMAUX DE LEURS VICTIMES.
Les débiles tuent les animaux de leurs ennemis. C’est plus facile.
C EST LA METHODE DES PSYCHIATRES POUR " FAIRE DES NOEUDS " DANS LA TETE DE LEUR VICTIMES .
SI ELLES SONT ASSEZ AFFAIBLIES ET QUE CA LES TOUCHE,
TOUT LE MONDE PEUT ALORS CONSTATER QU' ELLES SONT "FOLLES"
ET DONC LE PSYCHIATRE EST BLANCHI .
JE N’AI PAS PORTE PLAINTE PARCE QUE J AVAIS PEUR ET QUE JE CULPABILISAIS, COMME TOUTES LES VICTIMES.
Puis ce fut une voix d'homme, identique à celle de vincenot, qui me fit :
"Pourquoi tu m'as fait ça ?
Ils vont te tuer .
(J’ avais la preuve que le concierge était rentré chez moi en mon absence, avec le double des clés, que le propriétaire lui avait laissé.)
J'ai lu ton livre : [ ceci ] c'est débile.
J'ai regardé ton loto [ méthode ] c'est débile.
Tu veux te marier ?
C'est maintenant parce qu'après ce sera trop tard : tu seras moche.
T'étais amoureuse de moi ?
C'est moi qui ai fait ça ?
Je regrette pas ce que j'ai fait ."
LA VOIX DE VINCENOT : " JE REGRETTE PAS CE QUE J AI FAIT ".
Le corbeau m'incita à m'inscrire à une " association " qui me soutiendrait .
LE CORBEAU ME DIT : »ON A DECIDE DE TE LAISSER VIVRE. »
CE QUI SIGNIFIE QUE CES CINGLES DE PSYCHIATRES SONT AU SOMMET DE L’ECHELLE SOCIALE,ET QUE C’EST EUX QUI DECIDENT DE QUI VA VIVRE ET DE QUI VA MOURIR !
C'est bien ! Si c'est possible, c'est qu'on vit dans un pays de merde.
Je dois quémander pour qu'on me rende justice !
( on m'envoie vers des psychologues )
Dans cette façon polie de demander si on pouvait me faire chier, je reconnaissais une façon de faire de Vincenot. (des psychiatres en général).
La raison de ces précautions est probablement que ces salauds connaissent la loi, et que si une plainte était déposée, ils pourraient faire valoir qu'ils avaient " l'accord " de la victime, ( sérieux ou pas), et qu'ils s'en tireraient .
Vincenot continue à me harceler à travers ma famille, car il se vante d’ être « le cousin de mon père. »
Il m’ a fait injurier, à la mort de ma mère, insultant celle-ci, pour me punir d’une vengeance que j’ avais menée longtemps avant.
Et ce n’ est pas fini.
Parce que la majorité des psychiatres sont fous, et que ça ne finit jamais …
Je me souviens de ce que disaient mes parents, médecins, quand j’ étais petite : « Les psychiatres, c’ est des fous et des débiles . »
J’ ai payé pour le savoir : une grande partie de ma vie a été gâchée. Vais-je me remettre un jour ?
Vincenot a reçu un blâme pour ce qu'il m' a fait, et a été chassé de l' hôpital où il exerçait, avant d' être nommé directeur d' une clinique pour adolescentes !
Vincenot m' a, après celà, fait signaler par son ex-femme, Véronique Stefan, au procureur de la République, comme " dangereuse ".
Si un autre psychiatre fait ça, je suis enfermée à vie, sans possibilité de sortie, comme tellement d' autres gens en France.
Pensez à eux, s' il vous plait.
Quelque chose de pourri au royaume de France ...